13/01/2011

Marius Jacob, Souvenirs d'un révolté

« C'est alors que je comprit toute la puissance morale de ce préjugé. Se croire honnête parce qu'on est esclave ! C'est alors que je comprit aussi la force de ce frein contre la révolte : l'espoir d'une retraite. Allons, bourgeois ! Vous avez encore de beaux jours à régner sur le peuple ! Vous n'aurez rien à craindre tant que vos ignares victimes seront empoisonnés par l'espoir d'une retraite et par l'imbécillité de se croire honnêtes parce qu'ils crèvent de faim. »

Alexandre Marius Jacob, 1905.

Brochure A5 88 pages téléchargeable sur Infokiosques.net

Texte lisible ici ; Souvenirs d'un révolté

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